Ces deux modèles partagent la même base mécanique — cadre et moteur — les mêmes assistances électroniques SIRS (Suzuki Intelligent Ride System) qui incluent trois modes de conduite SDMS — A, B, C (du plus permissif au plus restrictif) —, un contrôle de traction STCS à trois niveaux, dont un mode G pour Gravel, permettant les dérapages contrôlés en hors route et en Supermotard, mais aussi un ABS Bosch déconnectable à l’avant et à l’arrière (en hors route).

Le moteur est un monocylindre 4-temps de 398 cc qui bénéficie des dernières évolutions lui permettant de revendiquer robustesse, intervalles de révision longs et performances améliorées à bas et mi-régimes. Ce moteur moderne dispose du démarrage assisté Easy Start System de Suzuki, d’un démarreur électrique, d’un accélérateur électronique Ride-by-wire et de l’injection électronique. Il développe un maigre 38 ch à 8 000 tr/min et un couple de 27 lb-pi à 6 500 tr/min, des données en baisse par rapport à l’ancienne DRZ 400. Son réservoir de 8,7 litres est petit, mais, en raison d’une consommation annoncée à 3,4 L/100 km par Suzuki, il devrait permettre une autonomie théorique de 256 km. Il est bien entendu est homologué Euro5 +.

L’instrumentation ACL comprend un tachymètre, un compte-tours, un indicateur de rapport engagé et une jauge à essence de type barographe.

La suspension est assurée par des éléments KYB réglables — à long débattement sur la S et à débattement réduit sur la SM —, des roues de 21 et 18 pouces sur la S et 17 pouces sur la SM.

Disponibilités et prix au Canada non annoncés pour l’instant.